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Jalousie
05/07/2006 12:12
* Admire la pers0nne qui te critique car pris0nnière de sa pr0pre jal0usie elle ne fait que t'admirer *
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L'amour
05/07/2006 12:11
On n'aime pas celui qu'on trouve beau, mais on trouve beau celui qu'on aime... L'amour naît dans un regard grandit dans un baiser et meurt dans une larme. "Mes journées sont trop longues sans toi, Et mes nuits trop courtes à rêver de toi..." Quand on est aimé, on ne doute de rien. Quand on aime, on doute de tout. La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ni dans sa façon de se coiffer... La beauté d'une femme réside dans ses yeux, c'est la porte d'entrée de son coeur... la place où l'amour réside... Et c'est souvent par ses larmes, qu'on vois passer son coeur... je pense a toi une seul foi par jour mais ca dur 24h !! "L'amour est un verbe qui se conjugue au présent car au passé il fait pleurer et au futur il fait rêver." "Ne me demande pas pourquoi je t' aime Car je devrais t'expliquer pourquoi je vis..."
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05/07/2006 12:00
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05/07/2006 11:58
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Suicide elle ont voulu en finir ...
05/07/2006 11:55
Angelle, 18 ans '' Avant mes 10 ans, je vivais dans un joli cocon rose. Mais,en grandissant,les choses se sont gatees, sans que je comprenne vraiment pk. J'ai commencee a etre minee par des idées noires, je me sentais mal dans ma peau. Finalement, j'ai fait une dépression, encore agravée par le mort de ma tante, qui était comme ma seconde mere. A partir de ce moment, je me suis sentie vraiment mal. Il y a un an, presque jour pour jour, j'ai fait une tentative de suicide. Avant je me scarifiais et j'avais des problemes d'alimentation. Je refusais de l'admettre, mais pour mon entourage j'étais la fille a problemes, mm mon copain m'avais quittée parce que j'étais trop renfermée. Je n'avais pas prévu d'en finir ce jour-la, mais par-contre j'avais tout planifié, je voyais un psy qui me prescrivais des anti-dépresseurs que je ne prenais pas, mais que j'emmagasinais encore et encore en prévision du jour ou je n'en pourrais plus. Je savais que je le ferais, c'était une certitude. Ce n'est pas tellement que j'en avais marre de la vie, je voulais juste arreter de souffrir, la douleur était insupportable. Et si mourir était la seule facon de tout arreter ... J'avais divisé mon stock de cachets par paquets de 20. Un matin, j'en ai pris 20 au réveil avant de partir en cours, puis 40 de plus aux toilettes du lycée, pendant la pause. Vers 11 heures, j'avais avalé mon stock, c'est a dire plus d'une centaine de cachets. Juste apres, j'ai commencer a me sentir mal, d'en un eclair de lucidité, je suis allée a l'infirmerie prendre quelques chose pour la tete ... tout en me demandant ce que j'étais en train de faire ... Réveil aux urgences, sous perfusion. Je me demandais ou j'étais, je ne me souvenais plus de rien. J'ai arraché deux ou trois fois la perf ', a tel point qu'on a du m'attacher pour la remettre. Il y avait plein de medecins autour de moi qui voulaient savoir ce que j'avais pris, en quelle quantité. Je leur ai repondue que je n'aivais rien fait ... J'avais la rage et la honte a la fois. Honte de ce que j'avais fait, et de ne mm pas avoir réussit a mourir. Je n'avais envie que d'une chose, qu'ils me laissent partir. Ma mere étant a l'etrangers, seuls mon pere et ma soeur sont venus me voir. Ils ne me parlaient pas mais leurs regards voulaient tout dire. C'est a ce moment la seuleument que j'avais compris que mon geste avait fait beaucoup de mal a mon entourage. Quand ils sont partis, je me suis retrouvée seule avec les médecins. Je refusais toujours de répondre a leurs questions. Au bout de deux jours, j'ai quittée les urgences, mais avant j'ai eut le droit a un rendez-vous avec le psychiatre, si elle avait voulut que je recommence des ma sortie elle n'aurait pas agit différemment. Elle m'a fait la morale, m'a sortie des épisodes de ma vie en me jugeant ... Elle a mm fait comprendre a mon pere que je n'étais qu'une pisseuse voulant faire son interressante. Brutal retour a la réalité ... On m'a ensuite proposée d'etre hospitalisée au centre Abadie, a Bordeaux, mais sans me l'imposer. La-bas, les traitements sont libres de choix, on peut voir un psy 24h sur 24, et des groupes de paroles sont organises. J'ai accepte l'hospitalisation uniquement pour rassurer ma famille. En fait, je n'avais envie d'aucune aide, je n'avais plus aucun espoir. La-bas il y avait plein de jeunes comme moi. Au milieu d'eux, j'avais l'impression de ne pas avoir ma place, que mes problemes étaient dérisoires. Durant dix jours, je suis restée hermétique a ttes aides, au contrair, c'est moi qui essayer d'épauler les autres, je leur parlait, je les conseillais, mm un comble. En fait je fuyais mes problemes en écoutant ceux des autres et je me montrais agressive avec l'équipe soignante. ''Tu te bats contre nous mais tu te trompe d'ennemi'', m'a répondu un jour un aide-soignant. Cette phrase, ca a été le déclic. Pendant mes 5 derniers jours au centre, j'ai accepté l'aide mais sans prendre de medicament, la camisole chimique nn merci. Je réfléchissais. De tte facons la-bas il n'y avait que ca a faire. Je me disais qu'a 17 ans la vie devais etre autre chose que de me montrer agressive et de faire souffrir mes proches. Le jour de ma sortie le centre a organisé une médiation entre moi, ma famille et les médecins. Cela c'est carrement mal passé, mais mes parens ont enfin compris qu'il fallait qu'ils aillent vers moi pour m'aider. Le dialogue s'est enfin établi, contrairement a avant ou je m'isolais dans ma douleur en cultivant la souffrance. Des le lendemain je suis retournée en cours, sans rien dire a personne. J'ai préféré inventé un super pipeau pour justifier mon absence. A mes amis, je n'est pas raconté l'episode de l'hopital, juste la tentative de suicide. Elles ont carrement mal pris la nouvelle, l'une qui avait aussi des envies suicidaires, n'a pas compris que je ne me soit pas confiée a elle. L'autre m'as fait des reproches, trouvant que j'avais eu une attitude lache et égoiste. Nous n'avons discuté qu'un seul apres-midi de ma tentative. Je ne les voient plus aujourd'hui car elles ont trouvées que je refusais leur aide. Quand j'y réfléchit, c'est vrai que je me suis coupé d'elles. Aujourd'hui je préfére me protéger en amitié et en amour. J'ai de nouveaux potes avec qui j'ai des relations agréables, mais superficielles, car je préfére me stabiliser completement avant d'installer des liens plus forts. Mm si cela a été dur la-bas, je sais que je n'aurai pas put me passer de l'aide du centre. Qui me permet encore d'avancer chaque jour. Grace aux professionnels qui y travaillent, j'ai put prendre conscience de mes problemes et c'est ainsi que j'ai put commencé a aller mieux. Si l'on va mal il faut accepter l'aide d'un pro, aller voir un psy n'est pas une tare en plus c'est remboursé. Je sais aujourd'hui que je ne passerai plus a l'acte. Le suicide n'est pas une solution. Quand j'y repense, je regrette d'avoir touchée le fond et j'ai du mal a l'assumer par rapport aux autres. Je me dit que j'ai fait une connerie, que je ne recommencerai plus. Avant je voulais vivre au pays de Candy, connaitre un bonheur aussi grand que ma souffrance. Aujourd'hui préparer mon bac, sortir avec mes potes, jouer avec ma petit niece ... sont des joies qui me donnent envie d'avancer ds la vie.''
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